Magie et Féerie
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 Palaris le preux chevalier

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Turjan
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Turjan


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MessageSujet: Palaris le preux chevalier   Palaris le preux chevalier EmptyLun 27 Fév à 21:16

Paralis le preux chevalier

Il y a bien longtemps, très longtemps dans un royaume lointain vivait un chevalier invincible. Il avait tout pour être heureux, la beauté, la force, le courage et le respect de tous ses proches.
Sa mère la reine Béniréce ainsi que son père Albéric l’adorait et le rendait heureux mais malgré cet amour il lui manquait toutes ces joies et ces plaisirs de l’amour.
Un jour, le roi, Albéric son père lui offrit un cheval d’une rare élégance et d’une grande beauté, il était blanc et fringuant comme l’éclair il lui donna ce nom « Arquebuse ». Il l’avait appelé ainsi car il filait au galop comme la flèche d’une arquebuse.
Mon fils, lui dit Albéric son père, il est temps que tu partes à la recherche de cette princesse !
Il te faudra aller loin pour rechercher ta princesse que quelques fois tu te perdras. Surtout dans cette forêt de chênes et d’immenses pins, tu y rencontreras aussi des êtres très étranges.
Sur le côté du coeur il y avait cousu de fil d’or toutes les armoiries du royaume.
Cette épée c’était le signe de la bravoure et son bouclier la force et l’endurance.
Juste en dessous, un petit animal, c’était le fameux symbole de tous les grands royaumes, un petit raton laveur pour sa douceur et son courage.
Albéric, son père lui répétait souvent.

«Faites bien attention mon prince».
Il regardait l’horizon et il aperçut tout en haut d’une petite colline, le château de son cousin.
Il continua sa route en prenant un petit sentier qui menait dans l’immense forêt de chênes et de pins.

Dans cette forêt tu rencontreras des personnages fabuleux, des fées, des elfes, des feux follets et bien d’autres êtres étranges mais ne t’arrête pas surtout, ils te feront perdre beaucoup de temps, car ce sont des êtres extraordinaires ils voudront te retenir, te parler peut-être même te garder. Va de l’avant ne les écoute pas suit toujours ton chemin.
Il n’avait pas vu un gueux qui marchait et qu’il avait bien faillit renverser sur le sol.
Le gueux le regarda d’un air incrédule :
Mais mon prince,que faites-vous dans cette forêt pleine d’embûches.
Je suis à la recherche d’une belle princesse.
Oh ! Répondit le gueux, il n’y a pas de princesse ici mais beaucoup d’êtres étranges.

Le gueux fit une courbette en signe de respect.

La forêt était grouillante d’animaux, des petits, des gros, mais il n’avait pas le temps de s’arrêter.
Il n’était pas encore sorti de la forêt que des êtres bizarres se dressèrent devant lui. Ils étaient sales, les cheveux hirsutes, les habits déchirés, il était complètement entouré par ces drôles de gens.
«Que me voulez-vous ».
L’un d’eux répondit «Nous voulons ton cheval, ton bouclier, ton épée, ta cape et bien sûr ton escarcelle.» Il vous faudra vous battre pour cela.
Si vous voulez vous battre alors je suis prêt, je vous attends !
Un des brigands sortit son épée mais il n’eut même pas le temps de la lever en l’air que déjà Palaris la lui fit perdre, elle tomba sur le sol, l’autre brigand recula de quelques pas et vociférant et leva son épée en direction du prince celui-ci n’eut aucune peine a le désarmer,
Il plaça son bouclier invincible en avant de lui pour se protéger, lorsque les coups d’épée des brigands frappèrent le bouclier celles-ci se tordaient ou cassaient
Voilà ! Sauvez-vous bandes de vauriens ! Et que je ne vo us retrouve plus sur mon chemin, sinon il vous en cuira encore !
Il se dirigea vers le petit village ou quelques petites maisons étaient bâties sur le flanc de la colline.
Peut-être y aurait-il là une auberge pour passer la nuit espérait-il, prendre un bon repas et faire reposer son brave cheval blanc, Arquebuse.
Tout le monde le regardait étonné en pensant voir un fantôme qui venait de sortir de cette forêt.
Il lui fit une courbette. Le prince lui demanda de s’occuper de son cheval se dirigea vers une porte épaisse faite de bois, il s’arrêta et lu, ce qui était inscrit dessus, «L’Auberge des fées».
L’aubergiste vint à sa rencontre.
Venez par ici mon prince, je vous réserve la meilleure place dans cette humble auberge.
Soyez le bienvenu mon prince dit l’aubergiste, je vous souhaite de passer un bon séjour a l’auberge des fées, vous verrez vous aimerez
Je le pense moi aussi répondit Palaris.
L’aubergiste alla dans la cuisine fit préparé une assiette, une grosse assiette, pleine de victuailles un morceau de pain et un bon pichet de vin.
Il mangea goulûment et le tout en était vraiment délicieux
Plus tard, il appela l’aubergiste et lui demanda s’il avait déjà entendu parler d’un immense château dans lequel vivait une belle pr incesse.
Mais mon prince, ce château est très loin d’ici derrière les hautes montagnes. Cela vous prendra bien plusieurs jours pour y arriver !
Oh ! Cela ne fait rien, peu importe je prendrai le temps qu’il me faudra.
Alors ce château,
Je pense qu’il s’appelle «Le château des grands sages»,
Le prince, demanda à l’aubergiste s’il pouvait dormir dans sa demeure.
Mais bien sûr, certainement mon prince ! Je vais vous donner la meilleure chambre et le meilleur lit que nous avons. Venez.
Le prince le suivi. Il monta les quelques marches et arriva à la porte de la chambre.
Voila ! Mon prince c’est ici.
Il se passe parfois des choses étranges durant les nuits .
Pourquoi aurais-je peurs lui dit-il ?
Il entra dans la chambre et vit un grand lit qui était là installé au centre de la pièce.
Une énorme bougie était allumé et la flamme qui brûlait formait des ombrages lorsqu’il passait tout a côté, des ombres dantesques se promenaient jusqu’au plafond.
Palaris enleva sa grande cape, ses bottes, son épée magique et son bouclier invincible, se coucha éteignit la bougie et peu de temps après s’endormit.
Son sommeil fut agité , il rêvait peut-être mais ce qu’il voyait était différent et il entendait des sons une mélopée qui venait de loin, il ouvrit les yeux et ce qu’il vit le surprit de touts petits êtres voletaient tout autour de lui.
Ses yeux ne voyaient que des filets lumineux qui traversaient la pièce , un chant résonna a ses oreilles c’était une ballade qu’il avait déja entendu d’un ménestrel qui venait au château de son père

Palaris était envoûté par les petits êtres ces fées tournaient près de lui, elles avaient de petites ailes et des fleurs de couleurs qu’elles lançaient partout et les pétales tombaient sur lui, le parfum était si bon que les odeurs se répandaient partout.

Palaris se leva et par la trouée du mur et ce qu’il vit était plus merveilleux des myriades points se promenaient au vent c’étaient de belles lucioles qui le saluait chacune leur tour.

Palaris entendait maintenant les mots de ces petites fées prononçaient.
Toutes ces fées et les êtres qui tout a l’heure étaient la s’en allaient car vers l’horizon une faible clarté commençait a poindre et toutes ces étranges créatures qui ne vivaient que la nuit devaient partir se réfugier d’ou elles venaient,
Palaris regardait toujours ces êtres mais au moment ou le soleil fit paraître ses premiers rayons plus rien ne resta devant ses yeux, il se retourna et sans murmurer un seul mot reprit son épée magique son bouclier invincible.

Palaris descendit l’escalier tranquillement en repensant a tout ce qu’il venait de vivre.
Déjà, l’aubergiste lui avait préparé un repas. Il ne parla pas. Il lui fallait faire vite s’il voulait arriver au château avant la nuit. Quand il eut fini, il remercia l’aubergiste de son bon accueil. Sans raconter les événements qu’il venait de vivre.
L’aubergiste le raccompagna et en sortant, lui indiqua le chemin menant au château. L’écuyer avait préparé son cheval et l’aida à monter, puis faisant une autre fois une courbette dît au prince :

«Faites bon voyage »

Saluant l’aubergiste, il partit lentement en remerciant une autre fois ses hôtes.
Palaris suivait à présent un vieux chemin qui suivait la vallée, gravissant les collines, il regardait partout autour de lui et la hâte de voir sa belle princesse faisait battre son coeur de plus en plus fort. Palaris fit galoper son cheval Arquebuse a vive allure.
Ce n’était qu’une vielle cabane qu’il voyait, alors que c’était un immense château qu'il cherchait . La muraille qui l’entourait était si haute qu’il pensait ne plus en voir la fin.

Aux créneaux, des gardes surveillaient l’arrivée de toutes les personnes qu’ils apercevaient.
Du haut d’une tour, un des gardes cria d’une voix forte :

Qui vient là !

Je suis Palaris le preux chevalier ! Je viens chercher une princesse et l’emporter dans mon royaume.
Le garde reconnu les armoiries sur son cheval et sa cape et ordonna qu’on baisse le pont.
Quand le pont-levis fut baissé. Il continua sa marche vers l’entrée du château. Un écuyer le suivait, il fit descendre Palaris doucement en prenant bien soin qu’il ne tomba. Le prince lui demanda de prendre soin d’Arquebuse, l’écuyer promit et fit une courbette.
IL gravit les larges marches et chaque fois qu’il rencontrait quelqu’un, on lui faisait une courbette.
Arrivé en haut de ce long escalier, il vit des chevaliers qui se parlaient. Il en connaissait quelques uns, rencontrés au cours de tournois, mais peu lui importait, il les ignora tous.
Paralis n’était pas venu de si loin pour eux, c’était pour sa princesse qu’il était là.

IL vit enfin un personnage étrange qui venait vers lui :
Êtes-vous bien le preux chevalier Palaris venu de si loin pour rencontrer la princesse Alexandra ?

C’est bien moi oui !

Suivez-moi, votre belle princesse vous attend depuis fort longtemps.
Le coeur de Palaris se mit à battre de plus en plus fort. Ils firent ensemble le reste du chemin. Le personnage l’arrêta et lui dit d’attendre . L’attente ne fut pas bien longue. D’un signe de la main il le fit entrer dans les appartements de la princesse.
Vous pouvez prendre place, lui dit l’étrange personnage.
Et là, Palaris vit enfin sa belle princesse. Il fut instantanément ébloui par sa beauté ! Elle était belle, une longue chevelure qui courait loin dans son dos qu’elle était belle !
Oh ! Ma princesse ! Il y a si longtemps que je rêve de vous ! Vous êtes bien plus belle que je l’avais imaginé !
Mais vous aussi beau prince Palaris vous êtes bien plus beau que dans mes rêves !
Palaris en tremblait de bonheur.
Douce princesse Alexandra, j’ai traversé la forêt enchantée pour venir vous chercher et pour vous emporter dans mon château et vivre dans mon royaume.
Il est loin mais il est beau ce sera pour nous deux, si vous le souhaitez.
Je partirais n’importe où avec vous, mon doux prince charmant au bout de la terre s’il le faut.
Palaris le prince ne savait plus quoi répondre tellement il était heureux.
Le roi Elacrite organise un tournoi de chevalerie avec tous les chevaliers de son royaume et des royaumes voisins.
Ils sont tous là, ces chevaliers que vous avez vu dans le château, ils vont participer au tournoi. Mais je sais bien que c’est vous, mon prince qui serait le vainqueur.
Le prince Palaris était fatigué et il avait besoin d’une bonne nuit de repos avant d’affronter les autres chevaliers le lendemain. La princesse le prit par la main et le conduisit dans la salle à dîner. Ils prirent ensemble un copieux repas sans dire un seul mot. Il trouvait que sa princesse avait les plus yeux du monde, il en était heureux.
Le repas terminé, ils partirent main dans la main et entrèrent dans une grande chambre où un grand lit était installé. La princesse Alexandra souhaita bonne nuit à son prince et le prince fit la même chose.
Dès qu’il fut seul, Palaris enleva tout son attirail, se coucha et s’endormit d’un coup. Au lever du jour, un bruit assourdissant dans la cour du château le réveilla. Déjà des chevaliers se pratiquaient pour le tournoi du roi. Il entendait les coups d’épée qui résonnaient partout,
Il ne s’épuiserait pas à cette pratique, sa bataille dans la forêt avec les brigands était suffisante, il savait bien se battre.
Tous les gens de la cour du roi, tous les chevaliers étaient présents, le tournoi pouvait commencer.

Le roi Elacrite donna enfin le signal et le premier combat commença, Oh ! Il ne dura pas bien longtemps d’un coup de lance le chevalier fût désarçonné.
Les combats se succédaient. Il y avait quelques fois ni gagnant ni perdant mais beaucoup de lances brisées, Palaris le prince attendait son tour. il mit son armure et monta sur son magnifique cheval Arquebuse, il s’élança au galop, la lance bien en avant avec son bouclier invincible. Il n’avait rien à craindre, il savait qu’il gagnerait contre le meilleur chevalier.

Aux deuxième passage Palaris dressa sa lance droit devant lui mais l’autre chevalier lui aussi avait fait le même mouvement et le choc semblait titanesque et inévitable au moment ou ils arrivèrent presque l’un contre l’autre, le silence se fit et tous les membres de la cour retinrent leur souffle jusqu’au moment ou le coup de lance arriva sur le bouclier invincible du prince, tous entendirent le bruit sec.
La lance venait de se briser ! Son adversaire dans l’élan bascula de son cheval et tomba sur le sol incapable de bouger à cause de son armure trop lourde.
Palarisvenait de gagner le tournoi. Alexandra la princesse était heureuse son prince était le meilleur de tous ! Les écuyers l’aidèrent à descendre de cheval à enlever son armure Palaris se dirigea vers sa princesse pour lui offrir les rubans aux couleurs du vainqueur.
Il l’a salua d’une courbette royale et la regarda…

La princesse s’approcha de lui et lui prenant la main lui dit.

Mon beau prince, maintenant il nous faut partir vers ton royaume.

Ensemble ils descendirent le grand escalier, tout en bas son beau cheval blanc Arquebuse l’attendait. Un autre écuyer amena pour la princesse un cheval tout aussi blanc pour tirer le magnifique carrosse offert par les nobles du château. Ils y montèrent et au grand galop sortirent du château
En disant adieu a tous.
Paralis le preux chevalier était fou de joie, il avait enfin sa belle princesse celle qu’il avait rêvée depuis si longtemps
La princesse et le prince étaient heureux.
Ils arrivèrent dans le royaume les gens les attendaient et les saluèrent en criant de joie
Ils s’aimèrent et leur amour dura très longtemps, la légende se répète encore même aujourd’hui disant que leur amour dura toute leur vie.




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