L’arbre d’amour
Sous cet arbre si beau attendrissant nos rêves
Des tendres pensées qui passent éphémères
Où cet amour naissant venait de commencer
T’entourer de mes bras, te couvrant de baisers
Ton corps alanguit frissonne comme une feuille
Tes lèvres douces ce fruit mûr que l’on cueille
Un vent de volupté soufflera dans tes soupirs
Pour faire battre ton cœur à te faire gémir
Un filet de lumière pour la couleur des corps
De la brillance de tes yeux qui éclairent ce décor
Douces caresses sur nos peaux dans cette rage
De tes mots murmurer après chaque passage
Je t’emporterai en douceur sur les ailes du vent
Où nos pensées voyageront aussi loin que le temps
Pour éteindre lentement cette immense flamme
Qui brûlera longtemps sans consumer notre âme
Rêves qui transportent vers des lieux enchanteurs
Dans la tendresse ou il n’y aura ni temps, ni heure
Profiter de tous ces merveilleux moments de vie
Avec nos espoirs dans ce fabuleux et doux paradis
Lorsque les fibres de nos corps sonneront l’hallali
Sur un léger nuage rendre ainsi nos êtres assouvis
Il ne restera que nos songes, le temps aura cessé
Dans une douce lumière dans ce lit bien envelopper
Je deviendrai à ce moment qu’un tout petit pantin
Que tu auras en une seconde modelée de tes mains
Dans la tendresse que tu me chantes de tes mots
Qui me fera vibrer et ce sera pour moi un repos
L’arbre d’amour aux feuilles dessinées comme des cœurs
Aux couleurs des espoirs, aux couleurs du bonheur
Mes nuits seront vivantes jusqu’au matin des aurores
Tu seras à mon côté magicienne, toi que j’aime, que j’adore
Turjan
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