Poémes Turjan

Je ne me lasse pas d'écrire mes mots c'est vrai que c'est devenu une drogue pour moi, mais elle si douce que je ne peux m'en passer, elle ne me fait que du bien alors pourquoi m'en priver.



Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin.

tu as déjà écris des poèmes sur l'Amitié ?

Oui, quelques-uns déjà mais c'est un mot qui est tellement difficile à exprimer que parfois nombres de gens l'escamotent et son sens en est perdu, il y a aussi les déceptions qui fait en sorte que l'on ne voit plus ce mot de la même façon, on s'en détache pour un temps et puis on recommence...
Pour moi l'amitié c'est aussi fort que l'amour parfois plus.




Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin.

LARME



J’aimerai être une larme
Un lent ru limpide et doux
Couler ainsi sous ton charme
Avec douceur sur tes joues

Venir mourir sur tes lèvres
Demeurer là pour l’éternité
En délicats baisers de fièvre
D’un tendre amour assoiffer

Je ne peux pas l’arrêter
Elle descend si lentement
En vagues vient déferler
Comme les mots d’un enfant

Sans avoir apaiser ma faim
T’aimer de mes mots de vie
Et dans un éternel refrain
Que dés maintenant, je vis

Sur un parchemin, j’ai écris
Un amour fou de passion
Il dépasse tous mes cris
Murmurer en mots de silence

Je voudrais bien te le dire
Là, figer dans le temps
Être plus fou te l’écrire
A cet instant qui me prend

Être un vagabond d’univers
De ce monde tant rêver
Aujourd’hui bien plus qu’hier
Je ne cesse d’y penser

Je vais bientôt les rangées
Dans le plus beau des casiers
Près de ce jardin de fleurs
De parfums et de couleurs

En s’élançant vers le ciel
Elles vont refleurir à nouveau
Deviendront des éternelles
Avec la douceur de mes mots

De ce lieu ou le vent souffle
Faible bruissement de feuilles
L’amour naît sans aucun doute
Glissant doux dans ce recueil.


Le 07 03 2006





On ne vit que de rêves, mais on meurt de réalité.

il est très beau et doux ton poème

Merçi Beaucoup Mauryne pour tes mots.

Apprivoisement







Être mystérieux qui ondoie dans la brume
Dans une danse lente au milieu des écumes
Elle vient de son chant séduire l’inconnu
Déesse de la mer avec son air d’ingénue

Je vois dans ses yeux à la couleur marine
Ce bleu de l’océan dans le reflet du prisme
Forgeant ses sortilèges de douce romance
Ou les tristesses la porte aux souffrances

Il lui faudra lutter fort contre les courants
Pour que je puisse faire son apprivoisement
Soufflant d’un coup les ouragans les plus fous
Calmant les vagues comme des baisers doux

Elle se faufile à présent entre deux eaux
Son corps ondule jusqu’au sommet là-haut
Sur les crêtes la couvrant telle la dentelle
Passant près de moi, je sens l’odeur de sel

Sons d’une mélodie aux rythmes de ses envies
Qui me plonge dans son monde, j’en suis ravit
Ses feulements sont doux si près de moi
Ses frôlements à mon corps, je suis sans voix

Elle a pour elle les folies tendres de ce temps
M’emportant loin dans cette vallée des séants
Où la musique de l’âme est comme du cristal
De la beauté des eaux des lagunes de corail

Sans peur j’affronterai cette mer indomptée
Partir avec elle au large pour l’apprivoiser
De mots tendre que je chanterai pour elle
Quelle me prenne et me cache sous ses ailes !

En ces plaines limpides ce refuge des sirènes
Suivant en mouvement la plus tendre des reines
Dans des élans qui me font à l’instant divaguer
Comme un ballet que l’on commence à esquisser

Elle me séduit atteignant mon cœur ma raison
Mille mots d’enchantement dans ce tourbillon
Dans cette fusion mon souffle prendra le sien
Avec passion m’abandonnant ainsi entre ses mains

De tant de vibrations folles mon cœur explose
Dans mon corps maintenant le reste implose
En arrivant à atteindre le summum des désirs
Même si je devais mourir de tous ces plaisirs

Je ne peux absolument plus rien y faire
Car d’elle, je ne pourrais plus me défaire
Que de rêves parcourent ainsi mes nuits
Que de rêves restent encore en moi enfouit

Tes mots tendres et fous m’ensorcellent
Ils viennent m’envahir dans mon sommeil
Je les garde avec moi, ils sont perpétuels
Ils sont dans ma mémoire m’émerveillent

De disparaître à cet instant d’aimer d’amour
Seulement pouvoir le vivre un unique jour
Ce serait vraiment un bonheur suprême
Je pourrai alors me laisser aller sans peine.



le 30 01 2006



Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin.

vous êtes prolifique lol

Je ne sais pas lily49 mais j'écris et tant que j'aurais du papier et un crayon je le ferai tant est aussi longtemps que mon inspiration sera là, je me croise les doigts pour qu'elle ne cesse jamais...

idem !
ton poème est... sublissime je l'adore !!!! il me fait rêver...

Quand les mots apportent les douceurs à l'âme et que les coeurs vibrent de leur musique alors quoi de mieux pour vivre cette vie, quel bonheur de pouvoir tous les ressentir aussi fort de leur sensibilité avec tous ces rêves qui les accompagnent, tellement ils nous atteignent au plus profond de nous en nous rendant presque fou.
Merçi beaucoup Mauryne, que cette musique et toutes les images restent bien graver dans notre mémoire pour que chaque instant soit, de joie, de douceur et de tendresse.



Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin.

Pour moi elle est un ange






Aimant de toute la grandeur de son âme
Les êtres qui gravitent auprès d’elle
Je me demande si elle n’a pas des ailes
Elle qui me fait tomber, c’est son arme

Chaque mot est dit d’une tendre sensibilité
Sans les confondre elle peut les expliquer
Elle accepte avec bonne humeur les idées
Même si elle n’a pas la même pensée

Des plaisirs de la vie en fait son idéal
Sans exagérer mais avec laquelle elle vit
Ses rires réjouissent les êtres qui l’attirent
Pour elle un amour ce n’est si pas banal

Ces mots enchantés, costumés tels des anges
De ce surnaturel elle en prend quelques franges
Rêvant d’immortalité à d’autres vies elle se range
Ses yeux lever au ciel pour voir les archanges

Son altruisme elle le vit fort à fleur de peau
Voir les gens heureux autour d’elle la rend sereine
Elle ne voudrait pas certes devenir une reine
Aider les êtres pour qu’ils effacent ainsi les maux

Prendre le temps de vivre une vie entièrement
Sans rien oublier, sans mettre aucun paravent
Espérant que les rêves durent éternellement
Pour tous ceux qui faiblissent trop souvent

En sachant bien que ce monde est différent
De ses rencontres elle ne veut rien imposer
Dans les choix et dans leur liberté pour rêver
Pour un monde de joie d’amour et de sentiments

D’une force intérieure elle puise son énergie
Qui fait d’elle un être avec beaucoup d’envies
Même si cela paraît elle ne dit rien en sourit
Elle trouve bien ou est le vrai sens de la vie

Des chemins ou les embûches sont réelles
En choisissant ce qui convient pour être mieux
Rêvant de son monde à ce qu’il a de merveilleux
En s’écartant des êtres vivant que d’artificiel

Dans sa douceur des mots de leurs nuances
Écoutant ce que d’autres on de leur mouvance
Chercher à comprendre le pourquoi de l’errance
En voulant apporter à tous une douce délivrance




le 08 03 2006


Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin.

J'aime beaucoup ce dernier poème Turjan.

En espérant qu'il y ai sur terre beaucoup d'êtres comme la personne que tu décris...

Merçi Elfira pour ton appréciation de ce poème, bien entendu qu'il en existe des personnes comme je l'ai décrit, j'en connais et c'est bien pour ça que je l'ai écrit.
C'est vrai, elles ne sont pas nombreuses mais elles sont bien réel, il me suffit de lire les mots, d'écouter les voix, de les suivre du regard quand elles ouvrent les yeux on peut y voir cette bonté, cette sagesse et toute la douceur qui s'en dégage pour ressentir beaucoup d'émotions et vivre en même temps les sentiments dans ces moments de plénitudes que nous vivons.
Toute la sensibilité qui est à l'intérieur de l'âme de ces personnes transparaît aisément devant nous et leur coeur est à porter de nous pour nous aider quand le besoin s'en fait sentir, elles nous servent de guides comme un ange dans cette vie.



Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin

Tendre comme le roseau




Ton corps ploie tel un roseau sous le vent
De mes caresses qui courent sur ta peau
Vivre ce temps d’aimer comme des amants
En chuchoter l’amour aussi doux que les eaux

Rivière limpide douce sinueuse des temps
Où nos corps se couvrent de tendres perles
Fraîches de ce jour d’un nouveau printemps
Elles s’écoulent douce sur ton corps frêle

Ton être secoué de grands tremblements
Des mouvements des élans de nos heures
Le reste vraiment est sans importance
Avec nos pensées liés par ce bonheur

Aux champs de fleurs des jours pour s’aimer
Des couleurs vives des odeurs parfumées
Embrasent tout dans nos plaisirs démesurés
De nos frémissements des corps désordonnés

De ses rayons le soleil nous rend brûlant
Donnant à notre peau une couleur d’ambre
Dans l’attente que vienne la pénombre
Pour enfin goûter à l’amour sans attendre

De mes gestes lents tu ploies doucement
De mes mots de tendresse les gémissements
Mes baisers sur ton corps t’enflammeront
Pour un autre retour des désirs me suppliant

Pour toi je serai ce merveilleux roseau
En t’accrochant à moi en me criant bien haut
Parle-moi comme le faible bruit du ruisseau
Qui coule doucement avant d’atteindre l’océan

Les vagues successives lorsque arrive la marée
La tendresse, la douceur qui vient te bercer
Afin de vivre l’amour d’un éternel balancement
Dans ce courant voluptueux pour toi exaltant



le 11 03 2006




Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin

Au travers de la nuit





Aux sons lointains de la forêt endormie
ou un écho se répands à travers les monts
Les cris soudain d’un jeune loup errant
en notes lentes de son chant lunaire
que le vent souffle d'un seul petit élan
Dans la faible clarté de cette lune blanche
ou de fantastiques créatures se glissent
Au silence de la nuit dans un faible froissement
quand les feuilles frémissent de leur chant
résonnant aux oreilles comme une mélodie
Des amants aux abois rêvant à d’autres temps
Se cherchant un abri pour à nouveau s’aimer
derrière les rochers dans ce matin de brume
qui s’élève vers le ciel en de veloutes légères
Des fines perles d’eau se posent sur les visages
viennent ainsi couvrir les ébats de la nuit
des corps qui baignaient en ondes de folie
de toutes leurs envies et délices des moments
Aux feulements de l’amour qui vient d’être consumé
allonger sur la mousse les corps enchevêtrer
sous les arbres géants, ils se mettaient à rêver
L’ombre de leurs ramures frôlant presque le sol
qui s’étiraient sans fin sur les bords des rives
en venant y puiser comme les amants l’amour
Pour y trouver enfin la fraîcheur de leur soif de vie



le 12 03 2006



Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin.

Si les mots ne sont plus

Si les mots ne guérissent pas les blessures
Alors je construirai une autre terre
Pour qu’un petit bonheur rassure
Et qu’il ne soit plus éphémère

Pour que la musique ne soit pas brûlure
Alors je créerai de nouveaux airs
Et pour que les chants soient une mesure
Rendant les êtres plus heureux qu’hier

Pour que le bonheur soit une armure
Alors j’écrirai des mots sans me taire
Que les images ne soient pas des parures
Les rendre plus belles que mon imaginaire

Pour que les pensées ne soient pas ramure
Alors j’inventerai un monde de rêves
Éliminant ainsi toutes les brisures
D’un monde morne de ces tours de verre

De ces mots qui sont fait de courbures
J’en ferai des phrases toutes en vers
Pour que les êtres s’aiment d’amour bien sûr
Sans plus connaître sur cette terre l’enfer



le 13 03 2006


Je suis un petit voilier sur ce vaste océan qui court après ses rêves

Amour



A si longtemps en parler
Qu’on finit par y croire
Que tous ces mots imprimer
Ne sont qu'un livre d’histoire

Puis l’on ouvre la porte
Sur une morte enfance
On se jette alors dehors
Sans un mot, insouciant

On emporte avec soi
Les lignes en mémoire
Avant que passe l’heure
Avant qu’il ne soit trop tard

Alors l’automne arrive
Au vent roule les feuilles
Le silence de la dérive
Est immobile sur le seuil

Le miroir est à présent jauni
D’avoir été autant éviter
A nul espoir pourtant des envies
N’offre le moindre reflet

On a gravi les monts
Les montagnes ardues
Au marbre des salons
En traînant nos pieds nus

Avoir arpenté les landes
Et les vertes prairies
Avec nos espoirs en rêvant
Trop vite passer à l’oubli

Tous, ils nous le racontent
Ces gens venu d’ailleurs
L’amour qu’on aime tant
Loin de nous ce railleur

Oublier qu’ils nous disent
En psalmodiant un chant
Avec des potions magiques
Où des filtres d’amants

Les êtres qui le clament
Qu’ils ont passés leur vie
A qui veut les entendre
Sans attendre et le fuir

Vivre des jours sans on le pourrait
Ce n’est que pur roman
Tous ceux qui le croyaient
Sont emportés par le vent

Quel âge faudra-t-il avoir
Pour enfin le rencontrer
Le garder dans la mémoire
Pour qu’il soit approuvé

Et de dire que tous ces écrits
N’était pas simplement
Qu’une erreur d’imprimerie
S’effaçant dans le temps

De toutes les pensées du poète
Qui rêve de vivre cette vie



le 13 03 2006


Je suis un petit voilier sur ce vaste qui court sans cesse aprés ses rêves.

Tu écris tes poèmes plus vite que je n'arrive à les lire.
Tes vers sont toujours aussi beaux.

Apprendre à t’aimer




De tous mes instants apprendre à t’aimer
Chaque seconde tendre l’oreille t’écouter
Ces mots que tu me dis les savourer
Un à un par tes lèvres murmurer

Doux est ton corps j’aime le caresser
Racontes-moi tes rêves les plus insensé
Ceux qui dans ton esprit te font imaginer
De tes pensées fugaces pour une volupté

Corps envelopper, corps enchevêtrer
Saveurs d’amour des sueurs gouttées
De milliers de baisers des caresses suppliées
D’un amour infernal qui te fera crier

Apprendre et me dire, je voudrais être aimé
Danser avec le vent ensemble s’embrasser
Partir à l’instant pour une nuit d’éternité
S’aimer tels des fous dans cette immensité

Sentir ton corps fébrile et te sentir vibrer
Frôler de mes mains ta peau douce parfumée
Voyager quelques secondes pour être survolter
Être dans ce monde avec tes mots enchanter

Apprendre tout pour savoir mieux t’aimer
Suivre de mon regard ton ombre et te parler
Parcourir l’univers dans mes songes espérer
A chaque instant t’aimer sans m’arrêter



le 14 03 2006



Je suis un petit voilier sur ce vaste océan qui court sans cesse après ses rêves.

Douce dame jolie



Ton chant si doux qui berce mon cœur
Telle une vague qui vient caressante
Je l’écoute et il me plaît vraiment
Il me comble de joie, pour mes heures

Tous mes rêves à l’instant sont vivants
Douce enchanteresse de mon âme
Me donnant la tendresse que je clame
Qui m’arrive du lointain de cet océan

Et avec tes sons, je parcours le temps
En notes si belles adoucissant ma vie
M’apportant une douce harmonie
Comme un souffle tendre du vent

Le murmure des mots de mon cœur
En cascade pour tes rêves des nuits
Qui t’emporte avec mon amour infini
Celui qui te fait chavirer de bonheur

Voir tes yeux aussi clair que l’azur
Dans lesquels je me fonds de désirs
M’entraînant dans de folles envies
Pour t’aimer plus encore, je t’assure

Les moulins tourneront de leurs ailes
Répétant cette musique lancinante
Pour te dire doucement je t’aime tant
En créant des images bien plus belles

Au réveil du jour te sentir près de moi
Respirer le parfum de ton corps qui m’envoûte
Iriser de couleurs aux nuées de veloute
Qui m’enlaçe de tes tendres pensées de toi

Chaque geste de tes mains sur mon être
Ajoute les interminables gémissements
Tous mes cris dans mes frémissements
Pour te redire souvent c'est vrai je t’aime



le 15 03 2006




Je suis un petit voilier sur ce vaste océan qui court sans cesse après ses rêves.

Si tu pouvais me dire



Si tes yeux pouvaient me parler
Que de choses pourrais-je entendre
Si tes lèvres pouvaient chanter
Tous les mots pour comprendre

Si ton coeur s’ouvrait comme la rose
Ses battements viendront me prendre
Si ta bouche sur mes lèvres se pose
Alors mon corps tomberait en transe

Si contre moi tu viens te blottir
Mon être en entier frissonnerait
Si ton esprit vient m’envahir
Des nuits heureuses je subirais

Si la flamme qui brille dans tes yeux
Dans ces moments brûlant de désirs
Si ce feu m’atteint ce serait merveilleux
Pour les heures d’interminables délires

Si tes rêves rencontrent les miens
Que le temps pour moi demeure infini
Si nous prenions ensemble le chemin
Ton regard suffirait à mes envies

Si tu me parles avec des mots doux
Tes caresses et baisers me seraient bon
Si tu me donnes le temps d’être fou
Afin de vivre les grands frissons

Si de tes yeux coulent les pleurs
Ce sera ceux de tes vifs plaisirs
Si tu frémis de ces instants de bonheur
Cet amour ne pourra jamais finir



le 16 03 2006



Je suis un petit voilier sur ce vaste océan qui court sans cesse après ses rêves.

Quelle sensibilité!C'est magnifique...
J'aime beaucoup la subtile sensualité de Tendre comme le roseau...Je n'ai rien d'autre à dire...moi qui suis sensible à la poésie,je ne fais que ressentir la musique de tes mots...

Merçi infiniment pour tes mots Rainsong, j'apprécie beaucoup c'est vrai mes poèmes sont de sensibilté, je les écrits et je ressens en moi tous ces moments, je les lis et relis et c'est toujours la même chose que je vis en moi, les mots crées des images qui sont douces et tendres.



Turjan


Je suis un petit voilier sur ce vaste océan qui court sans cesse après ces rêves.

Merveilleuse



Afin de rendre la vie plus belle
Avec tes mots doux et beaux
Au son de ta voix, musique sensuelle
Qui à l’instant efface les maux

Tout devient éblouissant brûlant
Quand tes yeux brûlent mon coeur
Je deviens ce voyageur du temps
M’apportant un petit bonheur

Les jours aussi longs que les nuits
Tout reste suspendu dans le temps
Mes rêves brouillent mon esprit
J’aimerais combler tes élans

Tendresse des mots, de tes gestes
Tendresse d’un espoir d’un regard
Mon corps vit de tes folles caresses
Je rêve encore mais il est tard

Merveilleuse aussi belle que les fleurs
De couleurs et de leur enivrant parfum
Je les respirerais à chaque heure
Mes nuits mes jours jusqu’à la fin


le 23 03 2006