Poémes Turjan

Ce poème, je l'ai écrit pour une personne qui était très chère à mon coeur, malgré le temps, le vent et les tempêtes tous ces souvenirs restent bien graver dans ma mémoire, l'expliquer je ne pourrais le faire car cela ne s'explique pas, continuer à vivre c'était ça le plus important, sans rien oublier de ces merveilleux moments qui ne sont plus.
Le relire me permet de revivre ces instants sans en garder la nostalgie le passé est peut-être loin mais les souvenirs restent eux...



Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin

Oui c'est bien ce que j'avais ressenti en le lisant !
moi aussi une amie très chère m'a écrit un poème un jour, je vous le mettrai peut être un jour, je lui avais parlé un peu de mon passé et ça lui avais fais écrire ce poème qui m'avait fait un bien fou je m'en rappelle comme si c'était hier ! et c'est un cadeau précieux qui m'a souvent remonter le moral.... en le lisant je me sentais moins seule...

Près de ton âme


Rêves qui m’arrivent du temps
De ce tendre amour du moment
De ces nuits d’ensorcellement
Baisers et tendresses des instants

Apporter une seconde de bonheur
Pour réchauffer ainsi mon cœur
Le faire durer pendant des heures
Amenant avec lui toute ta douceur

Mots doux sans cesse répéter
Les garder avec moi les envelopper
Les chuchoter doucement les chanter
Pour continuer à me faire rêver

D’une chanson tendre d’amour
Dans ce voyage aller faire le tour
Pour s’aimer jusqu’au petit jour
De tendresse de caresses de velours

Le temps n’efface pas le souvenir
Il n’y a rien qui pourra le faire périr
Dans une musique qui me fera frémir
Même si je devais en mourir

De mon dernier souffle, je l’écouterai
En te voyant pleurer je pleurerai
Les sons, les mots je les consommerai
De ta tendresse avec elle je finirai

Dans ce ballet lorsque tu le danseras
Je te suivrai avec de tout petits pas
Mon cœur dans ce fracas s’arrêtera
Pour moi dans ce monde tu existeras

Auprès de ton âme enfin je reposerai
Dans le silence absolu je t’aimerai
Avec tous mes rêves que j’imaginais
Loin de ce monde je m’en irai

le 04 11 2005

C'est triste...

Peut-être est-il triste, mais il est réaliste je pense parfois il est des moments comme ça où la vie apporte certaines tristesses que nous ne pouvons exprimer que par des mots vu l'intensité de ces instants. Ce qui prouve qu'on est bien mortel et que cette vie parfois n'est pas toujours heureuse.




Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin.

Les chemins de mer

Sur les chemins de mer, j’ai trouvé
Un bois de plage avec des notes incrustées
Une musique de sirène, un tendre chant
Qui joue les airs du temps !

Douceur des vents dans la marée
Le roulement des vagues vient bercer
Elles m’enchantent arrivent de l’océan
Au travers des brumes du temps

Écumes blanches perles de rosée
Brouillent mes yeux en larmes de pensées
Mélodies de mes rêves d’y il a longtemps
Il y a des jours des nuits que j’attends

Les galets ronds roulent en va et vient !
Murmures inlassable même refrain
Dans ce ressac d’immenses caresses
Avec tes mots dans la tendresse

Cette musique fait battre mon coeur
Il vibre comme le tic tac d’une horloge
Qui sonnent, les secondes, les heures
Et qui reviennent comme un prologue

Ces sons traversent mon corps frémissant
Les notes s’incrustent dans ma mémoire
Ils sont enfin graver tous ces chants
C’est avec eux que je garde mes espoirs

14 08 2005



Dans le jardin de mes pensées
Seule la rose est souveraine
Les éphémères ne font que passées
Mais mon coeur vit pour mon immortelle




Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin.

En suivant le fil de vie


Au crépuscule ou tout fini
Aux termes de nos oublis
Devenir ermite où nomade
Dans cette mer de sable

Marcher sans savoir ou aller
Suivant les sentiers dénudés
Pensées qui nous envahissent
Aux vents elles s’évanouissent

Du désert des solitudes
Où tout devient habitudes
A l’instant ou tout s’éteint
Sans un souffle qui étreint

Les nuits ne finissent pas
Quand l'amour nous tiens là !
Le temps n’a pas de mesure
D’une évasion qui rassure

La fuite des rêves perdus
Où tout devient inconnu
Il reste encore la mémoire
Pour continuer l’histoire

Un jardin aux milles couleurs
Qui nous enivrent d’odeurs !
Dans la rosée des aurores
D’un soleil aux rayons d’or

Les chants des rêves d’infinis
Qui nous avaient tant surpris !
Ils étaient pourtant beaux
Mais n’ont pas laissés les mots

Dans les brumes les nuées
Lorsque les pages sont tournées
Quand d’un seul trait tout défile ?
Avant d’être couper de ce fil



le 02 12 2005

Je dois t'avouer que tu m'intrigues! Je me demande quel genre de personne se cache derrière ces vers!

moi aussi

Je ne sais vraiment pas ce qui peut intriguer dans ce poème, chercher à le comprendre ou à l'interpréter n'est pas une chose facile, par contre ce que je peux écrire c'est que lorsqu'on vit quelque chose de formidable avec une personne et que tout à coup tout cesse, les sentiments que l'on ressent sont très forts, cet abandon de la personne que l'on aime intensément, tout disparaît alors et dans notre petite tête reviennent tous les souvenirs que l'on a vécu avec elle.
Ce mot intrigue me laisse perpléxe car je n'aime pas ce mot, pourtant il ne cache rien seulement l'expression de tous les états d'âmes qui sont en nous chacun les voit ou les comprends dans ce qu'ils sont et qui leur conviennent.
Ce fil lorsqu'Il est coupé fait voir cette réalité bien différente de ce qu'elle était et que l'on vivait auparavant.

Ce n'est pas le poème qui m'intrigue ou si tu préfère qui excite ma curiosité, mais la personne qui l'a écrit. Je suis tout simplement curieuse!
J'ai probablement la mauvaise habitude de tout analyser de vouloir savoir et comprendre, et toi j'ai du mal à te cerner.
Tu écris très bien est des choses très profondes, pourtant je te trouve mystérieux voir un peu distant.

Par contre en lisant ceci,

Turjan a écrit:

lorsqu'on vit quelque chose de formidable avec une personne et que tout à coup tout cesse, les sentiments que l'on ressent sont très forts, cet abandon de la personne que l'on aime intensément, tout disparaît alors et dans notre petite tête reviennent tous les souvenirs que l'on a vécu avec elle......

......Ce fil lorsqu'il est coupé fait voir cette réalité bien différente de ce qu'elle était et que l'on vivait auparavant.

je trouve que tu te dévoiles un peu plus et je te comprends un peu mieux.

Je comprends très bien ce que tu m'écris Filleolutins, ce n'est pas tant la curiosité que tu as, c'est une façon de mieux connaître la personne ce qui fait t'interroger sur ce qu'elle est réellement, ce dévoiler à d'autres n'est pas chose facile surtout lorsqu'il s'agit d'écrits, ce qui est mis noir sur blanc parfois est indélébile à moins de le rendre en poussière mais même là, la mémoire est là, pour moi c'est une bonne manière de pouvoir exprimer ce que je ressens intérieurement, c'est un moyen d'exorciser toutes les tristesses et les détresses, c'est un atout que je peux utiliser heureusement, autrement la vie ne serait peut-être vivable elle ménerait à cette interminable solitude qui ne résouds rien dans le fond.
De mon jardin secret si je peux en extirper quelques bribes pour être encore mieux, alors c'est une grande satisfaction pour moi, ce n'est pas de la méfiance de ne pas ce dévoiler, c'est tout simplement un moyen d'empêcher de se faire juger ou de se faire cataloguer.
Dans un monde où je suis un numéro à la suite des autres qu'est-ce que je suis alors, si on se dévoile pour tout, j'ose croire encore qu'il reste en moi une identité propre et qui m'appartiens, il est juste cependant que si l'on veut mieux communiquer avec les autres c'est évident que je dois parfois laisser libre court à mes émotions et à mes états d'âmes pour que les autres puissent comprendre ma démarche dans cette vie, car trop rationnaliser je sais nuit, c'est comme si je recherchais une réponse et un absolu à tout.





Solitaire dans un monde de solitude
Où les regards ne voient rien en avant
Garder l'habitudes sans changer les attitudes
Ne fait guère avancer le moment présent

Dans ces chemins ardus de la vie
Où tant de questions sont posées
Cacher tout ce qui nous fait envie
Sans avoir un jour à regretter



On ne vit que de rêves, mais on meurt de réalité

J'ai tendance à me méfier des mots ils sont trop facilement mal interpréter.

Chacun doit savoir préserver un jardin secret, mais je connais aussi les conséquences quand on garde trop de choses enfouies au fond de son coeur. Tôt ou tard toutes ces choses remontent à la surface en étant bien plus douloureuses encore. On pense se protéger au lieu de cela, on s'entoure de solitude, au lieu de partager les joies que nous apporte la vie.

Citation :

Chacun doit savoir préserver un jardin secret, mais je connais aussi les conséquences quand on garde trop de choses enfouies au fond de son coeur. Tôt ou tard toutes ces choses remontent à la surface en étant bien plus douloureuses encore. On pense se protéger au lieu de cela, on s'entoure de solitude, au lieu de partager les joies que nous apporte la vie.

justement,Filleolutins....tout ce que tu dis est si vrai que les poèmes de Turjan,sont sa façon à lui de ne pas garder ses sentiments enfouis;et le fait de les coucher sur le papier(il le fait si bien...) évite de les enfermer ds son coeur et d évacuer le trop plein d émotion au fur et à mesure...c est donc une façon de se protéger et le fait de partager ses sentiments surtout quand ils sont douloureux permet également de se soulager un peu de leurs poids...
ceci est ce que je ressens quand je lis Turjan...maintenant seul lui peut dire si c est exact ou pas et je lui en laisse le soin

Turjan ,à mon tour, je viens te dire à quels point tes écrits sont bouleversants....impossible de ne pas avoir les larmes aux yeux, non seulement par le contenu et toute la nostalgie qui s en dégage mais aussi par la beauté de l écriture ....
c est si intense que c est plus que des mots...c est un peu de toi que tu nous offres ....( à mon sens c'est une marque de confiance)..merci pour tout ça....

Je ne pensais vraiment pas que mes écrits auraient cet impact, par contre je comprends très bien cette sensibilité qui atteint l'âme et le coeur aussi profondément.
C'est vrai et très juste ce que vous écrivez à propos de mes poèmes, tous mes mots sont le reflet de vie peut-être sont-ils durs à lire mais ils sont l'extériosation de sentiments qui parfois sont mélancolique, nostalgique même violents mais c'est une réalité.
Pourquoi écrire si nous ne ressentons pas à l'intérieur de nous toutes nos émotions, déjà les coucher sur papier amoindrit ces ressentis qui quelques fois fait mal, ce n'est pas tomber dans le tragico-dramatique, non c'est simplement nous apercevoir que nous sommes faibles comme humain et que quoique en disent certains les mots sont et resteront ce moyen de m'exprimer.
Vous touchez juste aussi dans votre façon et dans la compréhension de ma poésie, je ne peux que vous remercier et puis vous me flattez en m'accordant vos mots , ils sont un bienfait pour moi.
Bien entendu, je n'écris pas que des poèmes tristes et mélancolique autant d'amour que de fantaisie dépendemment des moments, je prends la vie dans son ensemble et j'essaie autant que possible de jouir de la vie comme n'importe quel humain.
Cette intensité et la profondeur dans mes mots peu certainement faire poser bien des questions mais je ne puis m'inventer une vie quand même pas à ce point là malgré toute l'imagination que je peux avoir.
Je suis un simple mortel comme tous et je suis aussi bien conscient de l'effet que mes écrits ont sur ceux qui m'entourent et ceux qui les lisent, je ne recherche absolument pas à être glorifier ou autre chose seulement être moi dans tout ce que je suis.
Le fait est que l'interêt que l'on porte à mes mots me fais penser que je ne suis pas le seul, la vie est faite de toutes sortes de choses avec ses bons et ses mauvais côté on ne peut que regarder les bons sinon nous n'avancerions pas ou que très lentement.
Chaque chose et chaque geste à ses conséquences c'est à nous de faire le bon choix mais surtout faire le choix qui nous convient le mieux et qui nous rends plus heureux.

On ne vit que de rêves, mais on meurt de réalité.

Le grand lac d’argent


Au-delà de l’immense forêt
Un lieu cacher et secret
Où se trouve un lac d’argent
C'est la demeure des amants

Un long chemin étroit et sinueux
Connu seulement des amoureux
Il conduit à travers les monts
On y voit les étoiles à l’horizon

Parfois la lumière est si faible
Que le ciel paraît blême
Aucune herbe n’y pousse
Seul des lichens et la mousse

Un vent d’une tendre douceur
Apporte aux êtres un bonheur
Des cris d’oiseaux loin là-bas
Comme le son d’un cœur qui bat

Nos pas sont lents et feutrés
Le moindre bruit fait sursauter
Un feulement ce chant des feuilles
Doux comme un corps qu’on effeuille

Près de toi, tu me donnes la main
Pour franchir ce bout de chemin
Me conduis dans ce paradis
Où les êtres vivent leur vie

Et dans le croisement des yeux
Instant qui rends si heureux
Les heures passent dans le temps
Avec l’espoir et l’amour du vent

Le souffle des corps est court
Dans le silence pour l’amour
Quelques pas dans ce labyrinthe
Et nous en aurons fini des plaintes

Une lumière brille dans nos yeux
De voir ce paysage merveilleux
Petits murmures de nos lèvres
Cet endroit fantastique de rêves

Des gouttes d’eau pour épancher
La soif de nos gorges asséchées
Marcher sur le bord du rivage
Penser que ce n’est pas un mirage

Lac d’argent aux points brillants
Que des rayons rendent transparent !
Les filaments tombent du ciel
Des veloutes naît un arc-en-ciel

Les sons mélodieux des sirènes
Plaintes douces, elles appellent
Les chants glissent sur les eaux
Dans ce paradis sans dire un mot

Arabesques des corps sous les nues
Langueur d’une danse imprévue
Les notes voguent sur l’eau calme
Je suis à présent sous ton charme

Tes gestes expriment les désirs
De douces caresses font gémir !
De tes bras mon corps tu enlaces
Et de tes lèvres, tu m’embrasses

Embrasant entièrement mon être
Pour vivre en douceur ce bien-être ?
Ce ne sera qu’un début jamais de fin
Des espoirs de combler cette faim

Le 20 01 2006


Afin d’aimer cette vie ne la regardons pas passer et de nos rêves
des nuits les vivre de passion et d’intensité.

toujours le même charme...mais cette fois ci le message est optimiste
on vois que ton coeur n est pas blessé mais plein d espoir
et ça reste aussi beau dans dans la joie que ça l était dans la douleur...

Toutes les blessures se cicatrisent c'est à nous de faire en sorte qu'elles disparaissent le plus vite possible en nous, la joie la gaité les bons mots aident aussi.
Merçi pour tes mots vanamorgane, ne pas rester dans un isolement c'est important malgré toutes ces vicissitudes car ça n'améliorent rien, vivre est ce qu'il faut avant tout penser et en prendre le meilleure de ce qu'elle nous apportent.


Ce n'est pas le temps qui arrange les choses mais bien nous-mêmes si nous le désirons.

Les blessures cicatrisent peut être, mais certaines cicatrices restent!

Sinon, j'aime beaucoup ton dernier poème! Tu as de la chance de pouvoir exprimer tes sentiments et sensations par écrit. Tout le monde n'a pas cette chance.

Oui c'est vrai ce que tu m'écris Filleolutins, je le conçois peut-être que quelques unes restent mais je pense qu'il ne faut pas en faire une obsession et s'enfermer et qu'elles restent en nous terop enraciner, il y a tellement de belles choses à penser et à vivre autrement pour que les blessures s'amenuisent et deviennent bien moins douloureuses, enfin c'est seulement ma perception des choses, rien n'est facile mais tout peut s'arranger dans la vie.


Faire de tous nos rêves une vie en les gardant bien vivant.

je suis d accord avec Turjan
tu sais Fileolutins, on guérit de tout, le temps étant notre meilleur allié
après c est une question de volonté liée à la personnalité de chacun et là,ça peut aller plus ou moins vite,mais même à pas de fourmi,on avance....
une blessure qui a cicatrisé,a déjà commencé à guérir....
ne te décourage jamais même ds les moments les plus difficiles car il y a toujours une fin à chaque tunnel;même le plus sombre débouche un jour sur la lumière

Turjan a écrit:

Oui c'est vrai ce que tu m'écris Filleolutins, je le conçois peut-être que quelques unes restent mais je pense qu'il ne faut pas en faire une obsession et s'enfermer et qu'elles restent en nous terop enraciner, il y a tellement de belles choses à penser et à vivre autrement pour que les blessures s'amenuisent et deviennent bien moins douloureuses, enfin c'est seulement ma perception des choses, rien n'est facile mais tout peut s'arranger dans la vie.

Je suis d'accord, et je ne disais pas le contraire! Les cicatrices sont ce qui restent d'une blessure. IL faut du temps pour en guérir, mais des traces restent plus ou moins importantes, plus ou moins visible. Et tout dépend naturellement de "la blessure", et de chaque personne!

Et juste en passant, je suis plutôt quelqu'un d'optimiste, et les mauvais coups du sort n'ont pas encore eu raison de moi!

Mais, je ne suis pas pessimiste de nature c'est seulement qu'il y a des moments plus durs que d'autres à vivre c'est simplement ça, j'aime vivre la vie dans tout ce qu'elle m'apporte même si dans mes écrits cela peut être perçu comme autrement, d'ailleurs si c'était ainsi je serai incapable de les exprimer avec autant de profondeur...



Les alizés de leur souffle nous apportent toute la douceur des embruns venant de la mer.

c est évident!on n est pas pessimiste parce que l on traverse des moments qui laissent des traces douloureuses...
heureusement!!!!!
d ailleurs tu n écrirais pas comme ça il me semble si c était le cas...
tes écrits retracent des moments de ta vie (ou de la perception que tu en as), des bons...des moins bons...
mais derriere tout ça il y a un être qui a son caractère et sa sensibilité et tu ne laisses pas transparaitre l idée de quelqu un mal ds sa peau.....
en tout cas tu nous enchantes.....

J'ai l'impression que mes mots sont toujours mal interprétés, (pas pour rien que je m'en méfie), je dois avoir vraiment beaucoup de mal à faire passer ce que je pense sur le papier, et peut être ne pas bien saisir ce que vous écrivez.

En tout cas, j'avais l'impression que Vanamorgane, tu pensais que j'étais pessimiste et déprimée par la vie.

Et Turjan, je n'ai jamais pensé que tu étais pessimiste, bien que certains de tes poèmes soient tristes. Mais la tristesse à mon sens n'a rien à voir avec le pessimisme. Et puis je ne te connais pas assez pour oser porter un tel jugement.