Poémes Turjan

Peux-tu me dire Filleolutins qui est "Taliesin" je ne connais pas...





Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin.

Taliesin est un barde, le père de Merlin!

Merçi Filleolutins pour ta réponse c'est gentil de me l'avoir donner. Peut-être que mes vies antérieures j'étais un barde j'aurais certainement bien aimer.



Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin.

Si tu veux en savoir un peu plus: https://magieetfeerie.easyforumpro.com/viewtopic.forum?p=1778#1778
Tu y trouveras une petite fiche sur le roman Taliesin!

Merçi Filleolutins pour tout ça en note en plus j'ai trouvé sur le net pleins de choses sur lui beaucoup de choses en effets et depuis environ une heure je fouilles tout sur lui... Mais je ne suis pas aussi bon que lui, c'est magnifique ce qu'il a écrit.



Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin.

Âme en transhumance




Oh ! Âme de mon âme qui s’égare
Pourrais-je dans un élan te retenir
De mes bras pour ainsi te blottir
Et façonner avec toi mes rêves

Je n’ai que pensées démentielles
Qui sans cesse à présent te suives
Au gré du temps, sur les ailes du vent
Où je m’envolerai vers un ciel clément

Dans tes yeux je vois la lumière
Qui me fait entrer dans ton univers
Construire cet interminable pont
Pour te rejoindre au-delà de l’océan

Des brumes ou ton ombre m’appelle
Aux écumes qui brouillent ma vue
Tel des pleurs dans mes sommeils
Vagues qui ralentissent mes pas

J’entends tes chants de douceur
Ils font battre si vite mon cœur

Oh ! Âme rendant mon être si sensible
Laisse-moi ce doux rêve m’envahir
Lui qui sans cesse parcourt mes nuits
Sans qu’il s’évade lui trouver un abri

Afin de le rendre plus merveilleux
Me donner des instants heureux
Je me laisse glisser dans l’immensité
Pour venir me fondre dans tes baisers

De tes caresses qui me font sublimer
Mais tu es loin je n’aperçois qu’un voile
Il te couvres sous cette voûte étoiler
M’approcher et sentir tes émois

En criant mes mots tendres, mes mots doux
Ceux qui sortent de mon coeur sont fous
Oh ! Âme de mon âme en transhumance


le 28 02 2006


Dans le jardin de mes pensées
Seule la rose est souveraine
Les éphémères ne font que passé
Mais mon cœur vit de mon immortelle

Un seul mot SUBLIME !
Ton poème fait vibrer mon coeur... je te remercie Turjan !!!!

Au creux de tes mains




Te frôlant, je sens tes frémissements
Qui parcoure ton corps brûlant
J’aimerai te serrer contre mon coeur
Durant des jours, durant des heures

Cet amour fou seulement pour toi
Où tu es la reine, où je suis ton roi
Auprès de toi avec tous mes rêves
J’aimerai tant qu’ils soient sans trêve

Mes mains sur tes courbes sinueuses
Avec douceur de ma folie heureuse
Elle coule tranquille comme la rivière
Sur ton être tel un chant de prière

Sentir de tes mains l’infini douceur
Tendres caresses atteignant mon coeur
Elles ne s’arrêteront pas même demain
Je n’en aurais pas assez pour ma faim

Te regarder dans les yeux chavirant
De toute ma tendresse dans ce silence
Te dire une autre fois, je suis fou de toi
Sans autre forme, sans autre loi

Merveilleux sont ces moments de bonheur
Ou dans le creux de tes mains tombent mes pleurs


le 01 03 2006



Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin.

j'en connais une qui sera comblée dans tes bras elle en aura de la chance !
tu as une telle sensibilité et une telle beauté d'âme, je les aime tes poèmes !

Comment aimer si l'on ne partage pas la douceur et la tendresse dans l'amour, ces sentiments en sont une des parties intégrantes et si on les donne à l'être qu'on aime avec passion, ils apportent à l'amour ce qu'il y a de sublime en le vivant.



Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin.

Au-delà des marées





De tous ses rêves à dessiner
Qui s’échappent de ses pensées
Voir les images au-delà du temps
En fermant les yeux de ses paravents

Marcher à pas lent sur la grève
Ramasser les coquillages grêles
Balayer par les vagues des fonds
Rejeter par la mer hors du temps

Entraîner dans la brume par le vent
Ballotter de tous ces mouvements
Le regard sur cette voie lactée
Attendant le moment d’être né

Dérivant vers les grands continents
Sans un rêve que des tourments
Ses mots recherchent l’infinité
Pour ne plus être un naufrager

Les maux qui viennent des abysses
Aussi vaste qu’une toile que l’on tisse
Construire un très long fil d’espoir
Qu’il s’étire pour ses rêves des soirs

Suivi par d’innombrables ombres
Qui l’encerclent pour qu’elle tombe
Trouver pour elle une douce lumière
Pour éclairer ses nuits entières

Au large le claquement des vagues
Bruits incessants véritable cavalcade
Ses yeux se dirigent un instant vers le ciel
Dans l’attente d’un nouvel appel




Le 02 03 2006




Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin.

Il est magnifique ton poème !

quand je vous lis tous les deux , Turjan,Mauryne,je ne trouve pas de mots plus forts que ceux qui ont déjà été cités pour définir tout les sentiments que vous faites vibrer à travers la beauté de vos poèmes
la seule chose qui me parait évidente c'est que vous illustrez à ravir le nom de ce forum"Magie et Féerie"...voilà ce qui s échappe de vos plumes.....

je suis très heureux que tu m'écrives ces mots Vanamorgane, merçi beaucoup, comme tu le dis si bien pour moi aussi c'est de la magie et de la féerie car en écrivant les mots je les vis c'est ce monde qui me plaît énormément, de pouvoir en même temps apporter à toutes ces fées et magiciens de ce monde je rêve de la musique des images et des sons.
Pourquoi ne pas en faire profiter en même temps à tous c'est tout à fait naturel pour moi.


Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin.

je pense la même chose que toi Turjan, je partage rarement mes poèmes car ils sont une partie sensible de mon âme de coeur mais de voir vos réactions m'enchante et me ravie et ils me poussent à me remettre à en écrire pour vous les faire partager, les amis sachez que je vous aime !

Ces deux mots



Dis-moi seulement ces deux petits mots
Ceux que j’aimerai lire sur tes lèvres
Je veux les entendre, ils sont beaux
C’est a eux que je pense, tu le sais

Reste avec moi ne cherche pas à fuir
Devant mes envies et mes folles attentes
Vois dans le fond de mes yeux les désirs
Je veux te les dire en souffle de nuances

Des signes d’espoirs ne cherchent plus
Des mots en dérobade où en esquive
Ose à nouveau, ils seront tous bienvenu
Regarde dans mes yeux, tu peux les lire

Dis-moi tendrement en toute simplicité
Ceux qui te brûlent à l’instant même
Dans ce tourbillon qui tourne sans arrêt
Mon âme se lamente de mes je t’aime

Dis-moi de ta voix cette musique douce
Ces mots que j’aimerai tant savourer
Tous vont combler enfin mon univers
Dis-moi, dis-moi, je t’aime, je t'aime…


le 04 03 2006


Dans le jardin de mes pensées
Seule la rose est souveraine
Les éphémères ne font que passer
Mais mon cœur vit de mon immortelle

C’est si peu dire

Quand les corps des amants
S’apaisent de cette faim
Dans l’extase de délivrance
Elle qui n’a jamais de fin

Des insatiables baisers
Qui font s’ouvrir les lèvres
Dans ces désirs d’aimer
De toutes ces nuits brèves

Des élans enfin retrouver
Des moments de tendresse
Ceux que l’on va donner
Dans la folie des caresses

De longs soupirs s’exalter
Pour ce tendre bonheur
De nos nuits tant rêver
Pour qu’arrivent ces heures

Aux airs si langoureux
Des chansons d’écritures
Aux instants merveilleux
De nos mots en murmure

Dans ce lieu des délices
Où tout devient si beau
De tous ces sons un délire
Dans ce paradis nouveau

Le vent souffle doucement
Emportant nos pensées
Vers des cieux plus cléments
Afin de tout recommencer




le 06 03 2006

c'est magnifique Turjan ! j'ai l'impression de me rêpeter mais chaque mot que tu sors est pour moi comme une mélodie, et tu as la plus sublime des mélodies que je connaisse !

Autant je peux rendre le monde heureux en écrivant, autant je suis heureux de la faire.
Tout est fait de musiques, d'images, de couleurs et de mots même si parfois il y a des notes discordantes, des images floues ou des mots qui nous emportent dans le noir, nous retiendrons sans aucun doute ce qui est merveilleux et qui nous rends si heureux dans cette vie le reste eh ! Bien on le met de côté jusqu'à ce qu'il disparaisse.
Merçi Mauryne pour la gentillesse de tes mots.



Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin.

Rêver de toutes ces créatures



De ces belles et douces créatures
Qui viennent adoucir mes nuits
Traversant mon sommeil obscur
Réjouissant mes songes endormis

Comme des fées, elles se promènent
Au milieu des fleurs de ce grand jardin
Lorsque leurs ombres en moi se mêlent
Toute entière à mon corps jusqu’au matin

De leur apparence floue qui s’étirent
Aussi loin qu’est le grand horizon
Des tendres murmures et des rires
Fait naître dans mon âme les sons

Leur voile cache le secret des rêves
Que je ne peux pas encore dévoiler
Et les mots balbutier de leurs lèvres
Me parle d’amour pour ainsi m’apaiser

Les syllabes pénètrent dans mon cœur
Rendant plus vrai mes moments de joies
Au gré du vent arrive une douce chaleur
Changeant les vibrations de ma voix

Clameurs entendu des mots d’espérance
Elles me couvrent en me noyant d’émois
En me laissant tous mes rêves d’enfance
Les revivant à présent comme autrefois



Le 06 03 2006



Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin.

je ne dirai qu'une chose encore des poèmes ! plus j'en lis plus j'en veux ça va devenir une drogue si ça continue

Que tous mes rêves demeurent




Mes rêves de toi, je veux tous les garder
Demeure de mes pensées, je ne peux oublier
De tes boucles dorées, ta longue chevelure
Que le vent caressait sous un ciel d’azur

Toi qui m’apparut soudain au détour du chemin
En me tendant les bras et me prenant la main
Tes yeux étaient brillants comme ceux d’une fée
A cet instant, de toi, je ne pouvais me détourné

Ma main venait tout doucement frôler ta joue
Et une pluie de caresses coulait sur ton cou
De mes doigts, je sentais le soyeux de ta peau
Descendant lentement en effleurant ton dos

Mes lèvres se posèrent délicates sur les tiennes
Pour goûter à l’amour à cette saveur de miel
Alimentant la fièvre qui consumer ton corps
De ce brasier ardent qui naissait à l’aurore

Dans ce courant violent ou tout devenait muet
De nos gestes incertains que rien ne dévoilait
Où il n’y avait que faibles râles et longs soupirs
Tendres frémissements de nos mots de désirs

De folles palpitations dans nos cœurs brûlants
Au moment délicieux en devenant des amants
Ce temps je ne peux l’oublier, il me rend fou
Où tu me disais tes mots de ton regard si doux



le 07 03 2006




Il n'y a que le rêve qui nous permet d'aller plus loin.

très beau poème Turjan qui m'a donné plein de frissons en le lisant ! merci !

Tous ces mots sont là pour nous rêver et pour nous vivre les délices de cette vie



Des quelques mots qui courent sur une feuille blanche
Ou les images folles viennent traversées notre esprit
Dans un endroit bien cacher maintenant on les range
Pour quelles restent pour nous de tendres souvenirs

Ces mots font tous rêver et en les relisant nous affolent
Revivre ainsi tous ces moments dans n'importe quel lieux
De ces agréables frissons subit bien sur on en raffole
Les répètant sans cesse ces chants d'amour merveilleux

De tous les passages de vie, ils sont bien les plus beaux
Sous le ciel bleu sans nuages ou même sous le ciel gris
Ces instants immuables gardent les coeurs au chaud
Dans l'âme des amants dans laquelle l'amour est pris


Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin.

tes poèmes sublimes ne vieilliront jamais
je ne me lasserai jamais de les découvrir
ils sont là, présent liés à nous à jamais
comme nos plus beau souvenirs...

Merci cher Turjan !