Poémes Turjan

A l’ombre de la lune




Voir de mes yeux toi la divine déesse
En un éclair tout de mon être s’éveille
Venir doucement enlever cette toile
Sentir tes désirs au travers de ton voile

Je ne suis pas encore devenu un sorcier
Que de sa baguette magique va tout changer
Je ne suis pas encore Merlin l’enchanteur
Qui transforme la tendresse des coeurs

Tous les mots, je les écris sur une page
Ceux de mon cœur ou l’amour fait rage
Les imprimer de belles couleurs d’espoirs
Et être dans tes bras pour t’aimer ce soir

Main dans la main et faire une prière
Suivre ensemble, les vagues de la mer
Marcher lentement sur le sable chaud
De cette promenade avoir un tendre repos

Des grains de sable, coller sur nos peaux
Un par un les prendre en faire un château
Des donjons, Des tours, Des tourelles
Ceints de belles fleurs pour une souveraine

Se blottir ensemble loin derrière les dunes
Épancher nos amours avec les rayons de lune
Faire vibrer nos corps sous la voûte étoilée
De nos désirs brûlants de grande volupté

le 21 03 2006

vive les poèmes de Turjan
ils sont plus beau les uns que les autres !
Mille merci de les partagé avec nous !

Mille merçi Mauryne, je suis très heureux de tes mots tu sais, ils me font chaud au coeur, je ne suis qu'un petit poéte tu sais, ce que j'écris je le ressens du fond de mon âme et de mon coeur, tant que je pourrais écrire mes mots tant que j'aurais cette inspiration je le ferai pourvu qu'elle demeure en moi indéfiniment.


Turjan



Je suis un petit voilier sur ce vaste océan qui court sans cesse après ses rêves

Amour et passion




Des rêves fabuleux j’en ai tant
Et de ma raison te dire mes élans
Mon cœur qui me torture, il pleure
Toi qui rends belle toutes mes heures

Faut-il souffrir pour aimer aduler
A perdre tout de pouvoir tant t’aimer
Toi qui m’attires pour mes désirs
M’apportant tout les grands délires

Silences, pleurs et émois à présent
Ne changent rien sans sentiments
Aimer est un mot magique éternel
Envoûtant les amants dans ce rituel

Aux mots chanter de toi, musicienne
J’ai trouvé une tendre magicienne
Pour te parler, t’embrasser, ressentir
Te donner ma tendresse sans rien dire

Il est facile de se taire et d’attendre
Sans l’amour quelle mort lancinante
Il est là dans mon existence de vie
Toi qui me rends fou de tes envies

L’amour, il n’y a rien de plus beau
Pour toi que j’aime de mes mots
Cette folie des sens qui me prend
Avec mes émois, mes sensations

Sentir ta chaleur, vivre avec ta ferveur
Goûter à l’infini cet immense bonheur
Rêver de parcourir avec toi le temps
Mon aimée, viens avec moi dans le vent

Tendresse du cœur, flamme des corps
Mes envies me brûle plus encore
Au fond de mes yeux ce feu une flamme
Qui va fondre au creux de ton âme



le 24 03 2006




Je suis un petit voilier sur ce vaste océan qui court sans cesse après ses rêves.

Mes songes


Dans mes songes, je suis si près de toi
Dans mes nuits mes rêves sont sans voix
J’aimerai bien te les dire, te les lire
En prenant le temps de tous les saisir

Ils sont avec moi tous prêts à bondir
Dans ma mémoire je les ai en souvenir
Ils sont peut-être pour toi insensés
Mais là sont écrites toutes mes pensées

Je les entoure toutes de mots d’amour
En faire une chanson tel un troubadour
Elles prendront ainsi toute la place
Que je mettrai tendrement dans cet espace

Les mots que tu trouves les plus fous
Les choisir pour toi les rendre doux
Ceux qui te feront rêver très longtemps
Pour les vivre jusqu’au prochain printemps

Le ciel aux couleurs d’un d’arc en ciel
Pour toi seule, ils seront écrits ma belle
En te couvrant d’une robe de dentelle
Pour t’envoler tel un oiseau à tire d’ailes

Je ne pourrais pas t’arrêté au passage
Tu partiras te cacher dans les nuages
Pour aller rejoindre ces lieux de l’amour
Où mes songes eux seront là toujours

Ces rêves se sont ceux de toutes mes nuits
Je les vois à présent, maintenant, je vis
Je serai là à t’attendre tendant les mains
Pour pouvoir t’entourer de mes bras demain



Le 22 03 2006

Tu écris super bien, tes poèmes sont magnifique!!!

Merçi beaucoup pour ton appréciation Nono, ça me fait grandement plaisir de lire tes mots...

Nuits de silences apprivoisées



Derrière les volets clos de sa demeure
Vit le poète rêveur et solitaire
Écrivant les mots de tendre douceur
Pour des amours parfois éphémères

Chaque strophe est une absence de vie
Celle qui s’arrête à chaque point
Ce ne sont que ses rêves, ses envies
Qu’il laisse rouler dans un coin

Dans son univers de grande solitude
Mettant à ses lettres les accents
Le transportant vers les béatitudes
Vers les ciels fougueux des amants

En narrant cette histoire échafauder
Changeant l’image des paysages
De ses écrits qu’il répète en syncoper
Il revit à nouveau tous ses voyages

Des chants lointains de sa mémoire
Reviennent les souvenirs passés
Mais cela ce ne sont que grimoires
Tout paraît pour lui bien insensé

Des chemins qu’il ne fera jamais plus
Autrement que par quelques pensées
De ces mondes extérieurs méconnu
Ceux qu’il a pourtant toujours imaginer

Des rêves de vie parcourant son esprit
Les obsessions qui l’angoisse sans cesse
Même endormi il n’y a aucun oubli
Dans ces instants d’immenses tristesses

Errant vers l’infini en dehors du temps
Des silences doux de faibles murmures
En se laissant bercer à tous les vents
Derrière ces volets l’autre côté des murs

Airs des suppliques dans ses chansons
Quand l’amour en lui vient le saisir
Ces mots sont fait que de tendres sons
Apportant aux êtres tous les plaisirs

Ces bruits qu’il entend dans ces nuits
Comme une musique venant du lointain
Il les écoute c’est une agréable harmonie
Sur ces pages en fait d’éternels refrains

De ces moments de grande solitude
Qui viennent calmer enfin ses raisons
Sans changer ces amours d’habitudes
En vivant sa vie qu’il a choisit à sa façon

De ces printemps du temps qui s’efface
Ses pensées d’enfant se sont bien ancrer
Il écrira les lettres dans une préface
En imprimant les mots qu’il aura dessinés

C'est magnifique Turjan!
Tu n'as jamais eu l'idée d'envoyer tes poèmes à un éditeur?

Merçi beaucoup Raisong pour ton appréciation, je n'y ai pas vraiment penser
quelquesfois j'en envoie deci delà sur des forums de poésies mais sans plus, un jour peut-être je me déciderai à faire des recueils.

Danses des ombres du temps



Des symboles gravés sur les pierres des jours
Même avec l’usure du temps rien ne peut effacer
Aux figures anciennes envelopper de mousse
Qui ont façonnés l’histoire de ces mondes enchanter

Aux lueurs rougeoyantes des soleils couchants
Ces lumières douces à l’horizon, elles se glissent
Laissant un ombrage mince sur ces êtres dormants
Revivant chaque saison au moment des solstices

De ces pays lointains qu’ils ont souvent rêvés
Douces images colorées en courant dans le vent
Les dieux restent figés sur leurs socles dénudés
Attendant les prières, les danses et les chants

La force des esprits, les parcourait de transes
Les nimbant d’auréole d’où naissait une aura
Où la mort pour eux n’avait pas d'importance
Traversant les chemins de l’infini, de l’au-delà

Les musiques des bardes adoucissaient les âmes
Aux échos venant de la mer des tendres sirènes
Des chants résonnaient par delà les montagnes
Lorsqu’ils faisaient leurs grands festins de reines

Aux nuits sans lumière des étoiles incandescentes
Formant des sillons dans le ciel, ce long chemin
Des aurores striant durant des heures le firmament
Tout devenait ainsi pour eux paroles de divin


Le 31 03 2006

lol je crois que vous avez fait nouveau au lieu de répondre!vous lavez seulement en une journée?vous mettez combien de temps? faudrait que je relise tout le topic jai du louper des poemes

C'est mon erreur, j'aurais dû le mettre dans poèmes, il était trop tard quand je m'en suis aperçu.




Turjan



On ne vit que de rêves, mais on meurt de réalité.

Toujours aussi beau!
C'est vrai que c'est stupéfiant à la vitesse à laquelle tu écris, tu es drôlement inspiré!

Pas grave, je vais rajouter ton poème à la suite des autres!

Le forum rame!!!!!!!!!!!!
Je ferais la fusion des sujets une autre fois!

Merçi Filleolutins de réparer mon erreur, quand l'imagination et les idées arrivent alors j'écris, il m'arrive d'en écrire deux ou trois dans le même jour.
Tant que l'inspiration sera là, je continuerai après eh ! bien on verra, mais pour l'instant ça va bien alors je ne me plains pas et c'est tant mieux.


Turjan

Quand tes rêves t’emportent




Lorsque s’effacent au loin ces lueurs rougeoyantes
Lieu où le soleil se couche vers l’infini horizon
Quand le jour s’éteint dans la douceur du paysage
Tes rêves sont beaux faits de fabuleux voyages

Partir sur cet océan en suivant les courants
Qui coulent aussi loin que le lointain firmament
Lentement tu te laisses bercer dans ses brumes
Sur les chemins de mer où se bousculent les écumes

A la nuit douce tu vis maintenant dans les dunes
D’un sommeil léger t’endormant à la clarté de la lune
En cavalcades tes pensées glissent sur les rives
Alanguis sur le sable chaud naissent alors tes désirs

Vers les étoiles où s’étire les interminables comètes
Dans la tiédeur de la nuit quand naîtra cette fête
Tes songes seront tendres dans cette folle danse
Sous les lumières qui scintillent là-haut en cadence

Les vagues roulent doucement telle des soupirs
Battant la mesure du temps pour te faire gémir
Le ressac vient submerger les élans de ton cœur
Pour ces instants de tendresse d’un grand bonheur

La houle te portera dans cet univers merveilleux
Avec toutes les harmonies de ce chant silencieux
Et les nuances seront faites de tendres mélodies
Des sons qui en écho deviendront des airs de vie

L’aube lointaine que tes rêveries n’arrêteront
Les vents du large vers ce paradis t’emporteront
En suivant les sillages vers ce monde endormi
Que la brise poussera avec tes mouvements de vie

De tes yeux tu regardes fuir les petits nuages
Qui ondulent lentement en s’approchant du rivage
Ils t’apportent la douceur et la fraîcheur du temps
Pour toi déesse d’Éole qui vogue avec les courants

De l’île enchanteresse qui demeure dans tes rêves
Oublie les heures, le temps passe tout est brève
Chante la vie écoute cette chanson fais en le tour
De tous ces mots qui parlent encore de l’amour

Les points silencieux qui brillent tout là-haut
Impriment en lettres d’or tous les doux mots
Clignant chacun leur tour dans un dernier appel
Pour les souvenirs de vie en faire un rappel

Pour toi la vagabonde qui va parcourir l’infini
Avec tes songes qui vont venir embellir tes nuits
Traverser ces mondes où tu seras devenu la reine
En cheminant les espaces comme une souveraine

Tous les mots qui sont transportés par les vents
Comme ce petit voilier qui arrive titubant, ballottant
De ses voiles délester s’approche lent vers la rive
Glissant sur les eaux calmes dans son éternelle dérive

Loin, là-bas où se cachent tes chimères, tes grimoires
Eux qui t’emporteront demain avec tous tes espoirs
Cette belle histoire restera ancré dans tes pensées
Souvenirs longtemps en mémoire seront imprégnés




Le 03 04 2006



Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin.

Mes rêves en douceur





Sur cet immense lit ou j’ai semé des roses
Je t’offrirai de mon cœur, les essences
Pour que ton corps, merveilleux se repose
Lui qui a éveillé, mes désirs et mes sens

Aux couleurs de tendresse avec les saveurs
Je ferai à nouveau, ce mot aimer en nuances
Te contempler pendant des jours, des heures
Écoutant tes murmures et tes balbutiements

Je te transporterai dans un monde d’amour
De mes nuits blanches de baisers, te couvrir
En te donnant des caresses tout le jour
Avec enchantement, jusqu’à la fin en mourir

Je m’approcherai de toi pour sentir tes émois
Et ainsi t’effeuiller finement de mes mains
En déposant, ces fleurs aux couleurs d’espoir
Afin de vivre ce festin sur ton corps divin

Du réveil langoureux, tu sentiras cet amour
Sur ton corps assoiffer de désirs inavoués
Cette ballade sera douce, un vent de velours
Ton cœur, bondira de mes actions désordonnées

Le charme de tes gestes, la clarté de tes yeux
Ce chant nouveau, j’en ferai un refrain d’été
De ce voyage sans fin, vers des ciels heureux
En poursuivant le chemin sur ta peau veloutée

J’écouterai en silence tous tes mots sublime
En de délires fous, qui me feront vivre d’espoirs
Tous ces moments de joie, ces instants de délices
Ceux qui dans mes rêves, je ne pouvais pas voir



Le 03 04 2006


Je suis un petit voilier sur ce vaste océan qui court sans cesse après ses rêves.

Toi ce vent chaud des îles





Toi fille des îles aussi douce que le vent
Le soleil brûlant vient poser sur toi ses rayons
Dans la tiédeur, ils changent la couleur de ta peau
Et les nuances se mêlent de la chaleur de mes mots

Toi fille qui rêve encore de l’autre temps
Celui ou tu étais la reine de ce grand océan
Ce lieu ou tes pensées suivent les rives
Tu regardes le ciel sans être dans la dérive

Toi fille qui se promène sur les lagunes
Ton corps se profile derrière les dunes
Écoute les sons de la mélodie du vent
Ce souffle doux qui parvient de ton amant

Toi fille dans le roulis des vagues, tu joues
Aux mouvements de mes mains sur tes joues
De tes doigts sur le sable, tu formes des sillons
Que le ressac vient couvrir ton corps en fusion

Toi fille qui voyage au-dessus des monts
Partant à l’aventure vers d’autres continents
De tes espoirs d’aimer, tu te laisses bercer
Tu rêves à ces instants pour venir t’extasier

Toi fille dont le corps est toute une musique
Je t’enveloppe de mes tendres répliques
Ouvre tes bras que je puisse venir me blottir
Pour écouter ton cœur battre avant de dormir

Toi fille qui a trouvé l’amant pour t’aimer
Fermes les yeux laisse mes lèvres te frôler
En vagues successives sans instant de repos
Épuisant ton corps quand arrivera ce halo

Toi fille qui a dans ton sein mes désirs
Ceux que j’espère, ceux qui me font gémir
Ceux qui m’emportent et calment mes émois
Plaisirs incessants dont j’ai envie de toi

Toi fille à la voix douce qui enchante
Tes sons parcourent mes nuits, rêvant
Chaque note, une mélodie jouer sur ta peau
Je garde cet éternel refrain qui est beau

Toi fille lorsque le vent flatte ta chevelure
Cachant tes yeux clairs de couleur de l’azur
Tes baisers sur mes lèvres arrivent du vent
Je suis là avec toi pour t’aimer dans ce temps

Toi fille qui vient des îles au vent doux et chaud
De l’océan d’où naît la vie du fond de ces eaux
Toi qui chante l’amour dans tes rêves d’aimer
Ceux qui te font vivre sans rien abandonner



Le 05 04 2006

quels beaux poèmes Turjan !
ça m'avait manqué de te lire tu sais !
tu devrais faire un recueil de poème et essayer de les faire connaitre au monde entier !
tu écris sublimement bien et te lire me rend heureuse reveuse et fait battre parfois mon coeur très fort !

Je suis vraiment heureux de lire tes mots Mauryne, merçi infiniment pour ce que tu m'écris, pour faire des recueils j'y pense mais pour l'instant tant est aussi longtemps que je pourrais écrire je le ferai avec l'inspiration que j'ai, il y a tellement de mots encore à dire et à écrire sur les beautés de ce monde, sur tous ces êtres qui nous entourent et que nous aimons tant.




Il n'y a que le mystère qui nous permet d'aller plus loin.

Aux vents d’automne


Les vents et les frimas
Arrivent d’un même pas
Brûlant ainsi les feuilles

Et tout ce qui restera
Fines poussières sera

Les graines s’envoleront
Je ne sais où elles iront
Peut-être dans un autre jardin

A l’abri sans être vu
Ou bien dans les nues

Alors tu partiras te cacher
Au soleil d’autres contrées
Je sais mon cœur souffrira

Mais mes rêves seront fous
Jusqu’au retour des vents doux

J’en ferai un jardin d’amour
De ma tendresse des jours
Avec toutes mes pensées

De cette longue éternité
Je ne cesserai de t’aimer


le 05 04 2006

De doux et tendres sortilèges



Se retrouver là, ensemble
Sous l’immense arbre de vie
C’est avec toi que je m’épanche
Ainsi toutes les nuits

De son tendre feuillage
Habiller tout de vert
Il est vraiment sans âge
Dans ce grand univers

De ses branches qui ploient
Vers le sol gémissantes
De tes mots, je me noie
Sur ton corps languissant

Je sens tous les sortilèges
Que tu lances vers moi
Si doux, ils s’imprègnent
A l’intérieur de mon âme

Forte est la brise du Nord
Elle fait couler mes pleurs
De mon amour plus fort
Même passer les heures

Au passage de la lune
Rayons entre les branches
Mes mains une à une
Caresses sur tes hanches

De ces lents mouvements
Qui font rosir tes joues
De mes doigts lentement
Je te parcours d’amour

Sur ta peau une tendre rosée
Tes pensées, elles te grisent
Posant mes tendres baisers
Sur ton corps qui s’aiguise

Cette flamme qui te brûle
Au creux de ton bassin
Tes plaintes et murmures
Font bondir tes seins

Comme un amant exalter
Tes sons me font gémir
Vouloir tout recommencer
Entendre encore tes soupirs

Tes longs frémissements
De contorsions multiples
Ton corps amoureusement
Attend d’autres répliques

Et dans tes yeux les larmes
Larmes de douces voluptés
Au moment de l'extase
Où ton corps va sombrer

Ô amour de vie
Ce chant pour être aimé
Qui calme les envies
Des printemps, des étés

Danses folles des ombres
Elles qui n’arrêtent pas
Dans la tiédeur des ondes
Se faufilent loin là-bas

Écoute cette musique douce
En de tendres notes répéter
Allonger sur l’épaisse mousse
Courent sur ton corps dénuder

De ce monde faire l’évasion
Vivre tout l’amour des jours
Tentations, douces sensations
En ne pensant qu’à l’amour

Sous cet arbre qui nous éblouit
A l’ombre du soleil couchant
En s’aimant de notre folie
Il est là, que pour toi et moi


le 07 04 2006


Le ciel et l’océan se réunissent à l’horizon comme les humains dans l’amour.